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Un gang professionnel a profité du temps pluvieux et du tonnerre pour percer le mur d’une bijouterie, y voler 6 kilos d’or, puis prendre la fuite. La Division des Renseignements a identifié les auteurs et les a arrêtés.

26/11/2025

Un communiqué a été publié par la Direction Générale des Forces de Sécurité Intérieure – Division des Relations Publiques, comme suit :

Le 14-11-2025, le citoyen (M.Z., né en 1985, Libanais) a déposé une plainte concernant le cambriolage de sa bijouterie dans la ville de Tyr, dont la valeur a été estimée à environ un million de dollars américains, au cours duquel des inconnus ont volé près de 6 kg d’or.

Immédiatement, les unités spécialisées des Forces de Sécurité Intérieure ont été chargées d’inspecter les lieux du vol et de travailler à l’identification des auteurs.

L’inspection menée par la Division des Renseignements a révélé que les membres du gang avaient créé une ouverture dans le mur arrière du magasin depuis une maison abandonnée, leur permettant d’accéder au coffre de la boutique. Ils ont profité du temps pluvieux et du tonnerre pour couvrir le bruit durant l’opération, qui a duré environ cinq heures avant qu’ils ne quittent les lieux à l’aube, avec le début de la circulation normale.

À la suite d’un suivi minutieux, la Division a pu identifier les véhicules utilisés dans le crime : une voiture Rapid blanche et une moto. Elle a également identifié tous les membres du gang, qui sont tous de nationalité palestinienne :

  • A.S. (né en 1995)

  • Y.S. (né en 1993 – frère du premier)

  • A.S. (né en 1995)

  • B.S. (né en 2005)

Le 25-11-2025, des patrouilles de la Division ont arrêté les premier et deuxième suspects dans la zone de Saïda, tandis que les troisième et quatrième ont été arrêtés simultanément dans la zone de Tyr.

Une unité de la Division a également perquisitionné leurs domiciles dans le camp de Bourj el-Chamali, où environ 5 300 grammes de bijoux volés ont été saisis.

Lors de leur audition, tous les suspects ont avoué avoir commis le cambriolage en créant une ouverture dans le mur arrière du magasin à l’aide d’une échelle et d’un marteau, profitant des conditions pluvieuses. Les premier et deuxième suspects ont également reconnu avoir planifié l’opération après être entrés auparavant dans le magasin pour effectuer des travaux de maintenance.

Les mesures légales nécessaires ont été prises à l’encontre des détenus, tandis que l’enquête se poursuit sous la supervision de l’autorité judiciaire compétente.

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La Division de l’Information révèle les circonstances du meurtre mystérieux dans le camp de Chatila, ayant coûté la vie à une femme.

Un communiqué a été publié par la Direction Générale des Forces de Sécurité Intérieure – Division des Relations Publiques : Dans le cadre des efforts continus menés par les Forces de Sécurité Intérieure pour combattre les crimes de meurtre dans diverses régions du Liban et arrêter leurs auteurs, la Division de l’Information a reçu des informations concernant une personne non identifiée ayant tiré sur une jeune femme inconnue dans le camp de Chatila, la tuant. Immédiatement, des instructions ont été données aux unités spécialisées de la Division afin de mener les procédures de terrain et de renseignement nécessaires pour élucider les circonstances du meurtre, identifier le tueur et l’arrêter. À la suite du suivi, il est apparu à la Division qu’au moment du crime, une autre jeune femme se trouvait sur les lieux. Grâce aux enquêtes et investigations intensives, il a été révélé qu’il s’agit de : M. (née en 1986, Libanaise) Le 28-10-2025, après une surveillance et un suivi précis, une patrouille de la Division est parvenue à l’arrêter dans la région de Sahara Choueifat. Lors de l’interrogatoire, elle a avoué que le dénommé (H. H.) était celui qui avait tiré avec un pistolet militaire sur la victime—qu’elle connaissait sous le nom de « Nancy ». Il travaille dans le camp de Chatila pour un trafiquant de drogue. Elle a également reconnu consommer des stupéfiants et se les procurer à l’intérieur du camp auprès de la personne susmentionnée. La détenue a été remise à l’unité compétente pour que les mesures légales nécessaires soient prises à son encontre, sous la supervision de l’autorité judiciaire compétente, tandis que les efforts se poursuivent pour arrêter (H. H.).

26/11/2025

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Un réseau international d’escroquerie opérant entre le Liban et le Brésil a vu l’un de ses membres arrêté par le Bureau antiterroriste et des crimes majeurs à Beyrouth et au Mont-Liban. Y a-t-il eu des victimes de cette escroquerie ?

La Direction Générale des FSI, Département des Relations Publiques , a communiqué le bulletin suivant : Dans le cadre du travail continuel exécuté par les FSI afin de lutter contre les crimes et arrêter leurs acteurs, des informations furent reçues par le Bureau du Terrorisme et des Crimes Importants à Beyrouth et le Mont Liban et qui est relatif à l’Unité de Police Judiciaire,  à propos d’un gang qui fait des opérations d’escroquerie  et de fraude entre le Liban et le Brésil,  et  les criminels  font croire à leurs victimes dans ce pays qu’ils sont capables d’assurer un service à eux en leur délivrant des sommes d’argent en “euros “ à leurs parents au Liban, en échange d’un transfert  de cette monnaie qui a la même valeur , ça veut dire des bitcoins au Brésil et ceci pour leur profit , tout en s’assurant de recevoir la même somme. Plusieurs  individus sont  tombés victimes de ce groupe , d’où l’un d’eux a reçu la somme de 000.36 euros falsifiés. Et le Bureau  a reçu des données supplémentaires , dont le contenu est que l’un des membres de ce groupe, va délivrer la somme de 000.35 euros à la nouvelle victime. Sur le champ,  les ordres furent donnés aux effectifs de ce Bureau pour travailler à le localiser et l’arrêter. Et suite à un travail de dépistage et de contrôle, et à la date du 30-10-2025, une Force du Bureau précité est parvenue à l’arrêter en flagrant délit à bord d’une voiture blindée , avec une plaque falsifiée, alors qu’il délivrait une somme d’euros falsifiés dans la localité de Al Ouzai sur la rue de l’aéroport et il est nommé : AA (né en 1981, Libanais ) et il est recherché pour crimes d’homicide, de tir de feu et de trafic de drogue. En l’inspectant avec la voiture , on a saisi en sa possession la somme de 000.35 d’euros falsifiés avec une machine pour compter la monnaie et qui est rectifiée, une carte d’identité falsifiée, un permis de conduire falsifié au nom de “chadi Al Najjar “ . En l’interrogeant, il a avoué avoir commis plusieurs opérations de promotion de monnaie falsifiée de la catégorie de “euros “ . Pour ce, et à la demande de la magistrature concernée, la Direction Générale des FSI, diffuse sa photo, et demande ceux qui sont tombés victimes de ses actes et l’ont reconnus de contacter le Bureau précité sur le numéro 05-467927, afin de faciliter prendre les mesures légales convenables.  

5/11/2025

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Détails du viol et du meurtre d’un enfant à Naameh par un monstre…

La déclaration suivante a été publiée par la Direction générale des forces de sécurité intérieure – Division des relations publiques La brigade de Dammour au sein de l'unité de la gendarmerie territoriale (Sûreté intérieure) a réussi à élucider les circonstances du crime de viol et de meurtre d'une fillette de dix ans (H. M., née en 2015, de nationalité syrienne) dans la localité de Naameh, un acte perpétré par un « monstre humain » dans toute l'acception du terme. La brigade susmentionnée a réussi à arrêter l'auteur : H. H. (né en 1997, Syrien) Il est le frère du voisin de palier de la famille. Il a emmené la fillette et son frère de cinq ans, A. M. (né en 2020, Syrien), à la mer, où il a violé la fillette sur un monticule de terre en face de la plage de Dammour, du côté nord. Il l'a ensuite tuée en la frappant à la tête avec une grosse pierre, et a caché son corps dans les roseaux, sous un amas de pierres. Il a ensuite transporté son frère — qui avait commencé à crier — après l'avoir frappé au visage, par le passage de la station de pompage (Al-Abbara) à Naameh, où il l'a jeté à la mer, croyant qu'il était mort. Cependant, la providence divine a empêché cela. Dans le détail : À 23h25 le 31-10-2025, la brigade de Dammour a reçu un appel téléphonique d'un habitant de Naameh signalant la découverte d'un enfant présentant des traces d'éraflures et une blessure à la tête, et dont les vêtements étaient mouillés. Une patrouille de la brigade s'est immédiatement rendue sur place, où elle a vu l'enfant. Son père (M. M., né en 1979, Syrien) était également présent, accompagné du dénommé (H. H.) mentionné. Dès que l'enfant a vu ce dernier, il a pointé du doigt en indiquant que c'était lui qui l'avait emmené, lui et sa sœur, à la mer, qu'il avait emmené sa sœur qui criait, et lui avait demandé de rester à côté de la moto. Le suspect était ensuite revenu seul pour le conduire à Naameh – au passage de la station de pompage (Al-Abbara) et le jeter à la mer après l'avoir frappé au visage. Le suspect a été immédiatement conduit, menotté, au poste de la brigade par les agents. Le 1-11-2025, la déposition de l'enfant a été recueillie en présence d'une déléguée pour la protection de la jeunesse, au cours de laquelle il a répété ses déclarations. Dès que le suspect lui a été présenté, il l'a de nouveau accusé. Vers 17h00 le même jour, lors d'une opération de ratissage de la mer et de la plage, une patrouille a découvert le corps de la fillette, qui a été examiné par le médecin légiste et le Bureau des accidents - Baabda, puis déposé à la morgue d'un hôpital de la région. Lors de l'enquête avec le dénommé (H. H.), il a avoué les faits qui lui étaient reprochés : il a admis avoir emmené les deux enfants à la plage de Dammour, violé la fillette et l'avoir tuée après l'avoir frappée à la tête avec une pierre, avant de recouvrir son corps de pierres. Il a ensuite emmené son frère à Naameh et l'a jeté à la mer, croyant qu'il était mort. (H. H.) a été arrêté et déféré à la section judiciaire de Beiteddine, relevant de l'unité de la police judiciaire, pour approfondissement de l'enquête, sur indication de l'autorité judiciaire compétente.

2/11/2025

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Après s’être assuré que les maisons sont vides de leurs habitants, il entre et commet son vol, et la Branche d’Information l’arrête à Barja.

La Direction Générale des FSI, Département des Relations Publiques, a communiqué le bulletin suivant :  Dans le cadre du travail de suivi continuel exécuté par les FSI afin de lutter contre les opérations de vol, de pillage et de vol à l’arraché dans diverses régions libanaises, des informations furent obtenues à propos d’une personne inconnue qui a volé une valise  qui contient une somme d’argent et ceci au sein de l’appartement de l’un des citoyens dans le village de Barja. Sur le champ, les Unités spécialisées au Département de l’ Information ont mené leurs mesures investigatrices et de terrain pour dévoiler l’acteur et l’arrêter, et il est nommé : M (né en 2008, syrien ) A la date du 14-09-2025 et suite à une opération de contrôle et de dépistage délicate, l’une des patrouilles du Département est parvenue à l’arrêter dans le village précité à bord d’un motocycle fabriqué 7 de couleur rouge sans plaque, et qui fut saisi. De même, en l’inspectant, on a saisi en sa possession une somme d’argent et un revolver métallique sans balles. Finalement, en l’interrogeant, il a avoué ce qui lui a été attribué quant à son exécution d’une opération de vol d’une valise à l’intérieur d’une maison à Barja, et son achat du motocycle saisi avec l’argent volé. De même, il a confessé qu’il entrait dans les bâtiments et les appartements et qu’il les volait après s’être assuré qu’ils étaient vides de leurs habitants. On a pris les mesures légales à son encontre et il fut conduit avec les objets saisis à la magistrature concernée.

27/10/2025