Communiqué de presse de la Direction générale des forces de sécurité intérieure – Division des relations publiques : Le 14 novembre 2025, Mme L.H. (née en 2004) a déclaré qu’alors qu’elle se trouvait dans un restaurant du quartier de Nahr à Beyrouth, un individu non identifié lui avait dérobé son portefeuille, contenant de l’argent et des papiers d’identité, dans son sac qu’elle avait laissé sur un siège. Immédiatement, les unités spécialisées de la Division de l’information ont lancé des opérations de terrain et d’enquête afin d’identifier et d’appréhender l’auteur du vol. Grâce à ces investigations, il a pu être identifié en quelques heures. Il s’agit de : M.R. (né en 1996, de nationalité libanaise) Le 16 novembre 2025, après une surveillance attentive, une patrouille de la Division l’a interpellé dans le même quartier. Il a avoué les faits. Les poursuites judiciaires nécessaires ont été engagées à son encontre et il a été placé en détention provisoire, conformément aux instructions du tribunal.
11/12/2025
Dans le cadre de la coopération entre les Forces de sécurité intérieure et les institutions de la société civile, et à l'occasion de la « Journée internationale des droits de l'homme », une conférence nationale s'est tenue le matin du 10 décembre 2025 à l'hôtel Mövenpick de Raouche, sous le patronage du directeur général des Forces de sécurité intérieure, le major-général Raed Abdullah, sur le thème « Combattre la criminalité transnationale organisée à la lumière des défis actuels : entre réalité et respect des droits de l'homme ». Organisée par le Bureau central national d'Interpol au Liban et l'organisation « Justice sans frontières », la conférence s'est tenue en présence du chef de la Division des liaisons internationales, le général de brigade Rony Bitar, représentant le parrain de l'événement, le chef du Bureau central national d'Interpol à Beyrouth, le général de division Raed Abdullah. Ont également participé le vice-président du Comité de surveillance des dossiers d'Interpol, le colonel-docteur Mohammad Qamra, Brigitte Chalbian, directrice de l'organisation « Justice sans frontières », le général de division Ibrahim Basbous, ancien directeur général des Forces de sécurité intérieure, un représentant de la Direction du droit international humanitaire et des droits de l'homme de l'Armée libanaise, des représentants du ministère de la Défense et de la Direction générale de la Sûreté générale, des avocats, des magistrats, des représentants des institutions militaires et de sécurité, des organisations internationales et de la société civile, des ambassades et des syndicats. La conférence a débuté par l'hymne national, suivi d'un discours de bienvenue du journaliste Joseph Ibrahim. Discours de l'avocat Chalbian : « Notre rassemblement à l'occasion de la Journée internationale des droits de l'homme revêt une importance capitale. Il nous rappelle que les droits ne se préservent pas par des slogans ni ne se protègent par de simples intentions, mais bien par un système juridique, sécuritaire, judiciaire et institutionnel intégré, capable de garantir la sécurité des êtres humains, de protéger leur dignité et de lutter contre toutes les formes de criminalité et de violations qui menacent leur sécurité et leur stabilité.» Elle a ajouté : « Dans ce contexte, la Convention des Nations Unies contre la criminalité transnationale organisée, également connue sous le nom de Convention de Palerme (2000), constitue le principal cadre juridique international consacré à la lutte contre les crimes qui transcendent les frontières nationales. La Convention a établi des règles uniformes de coopération judiciaire et sécuritaire internationale et oblige les États parties à adopter des mesures législatives et réglementaires efficaces, notamment en incriminant la participation à des groupes criminels organisés, en luttant contre le blanchiment d’argent, en protégeant les témoins et les victimes et en renforçant les mécanismes de coopération internationale et de contrôle des frontières. La Convention est liée à trois protocoles contraignants qui traitent spécifiquement de la prévention, de la répression et de la répression de la traite des personnes, en particulier des femmes et des enfants ; de la lutte contre le trafic de migrants ; et de la lutte contre la fabrication et le trafic illicites d’armes à feu. L’adhésion du Liban à cette Convention confirme son engagement international dans la lutte contre la criminalité organisée et sa volonté de développer ses capacités nationales et de renforcer sa coopération avec les États et les organismes internationaux dans les domaines de la lutte contre la traite des êtres humains, le trafic de migrants, la cybercriminalité et les autres activités criminelles transnationales. » Dans son discours, elle a souligné que la traite des êtres humains est l'une des formes les plus dangereuses de criminalité organisée, compte tenu de sa violation directe et grave de la liberté et de la dignité humaines, en particulier pour les femmes et les enfants, plus vulnérables à l'exploitation sexuelle et au travail forcé. La lutte contre ce crime exige une approche globale qui commence par la prévention, la sensibilisation et la détection précoce, inclut la protection des victimes et des témoins, et aboutit à une stricte responsabilisation et à la fin de l'impunité. Nous assistons à une expansion rapide de la cybercriminalité, devenue un outil clé du crime organisé. Elle est utilisée pour la manipulation de l'information, l'extorsion, l'exploitation sexuelle des enfants, le recrutement et même la traite. Le Liban a adopté sa Stratégie nationale de cybersécurité afin de renforcer ses capacités de prévention, de surveillance et de réponse. Il s'agit d'une étape cruciale qui doit s'accompagner d'une sensibilisation de la société, du renforcement des capacités professionnelles et de l'élaboration de politiques garantissant un système de protection numérique cohérent. Face à la montée en puissance de la traite des êtres humains, de la cybercriminalité et du crime organisé, il est urgent d'adopter des approches préventives fondées sur la sensibilisation, le développement de mécanismes de protection et la mise en place d'un cadre juridique clair et efficace garantissant l'accès à la justice, assurant la responsabilité des auteurs et empêchant toute impunité. Cette responsabilité nationale incombe à l'État et à ses institutions, à la société civile et aux partenaires locaux et internationaux, et vise à assurer la protection des citoyens et à renforcer la résilience de la société. L'intégration des efforts de l'État et de la société civile permet de constituer un réseau de protection plus cohérent, renforce les capacités nationales de prévention et d'intervention rapide et contribue à bâtir une société plus résiliente, capable de lutter contre diverses formes de criminalité et de violations. Au cœur de sa mission, l'organisation Justice sans frontières incarne le soutien des institutions étatiques et de la société civile en promouvant le droit d'accès à la justice et en donnant aux individus, notamment aux femmes et aux enfants, les moyens de bénéficier d'un système de protection efficace. Son action se concentre sur les violences sexistes, la traite des êtres humains, les infractions sexuelles, la cybercriminalité, les questions de statut personnel et les cas de naissances non déclarées. Cet objectif est atteint grâce à la contribution au développement d'un environnement juridique protecteur, à la détection précoce des violations et au soutien des victimes tout au long des procédures judiciaires. L'organisation adopte une approche globale fondée sur un dialogue direct avec les groupes les plus vulnérables, la fourniture de conseils juridiques, la sensibilisation à leurs droits, la diffusion de la culture juridique et le renforcement des capacités des organisations de la société civile en matière de prévention et de protection, ainsi que la promotion d'une culture d'accès à la justice. Elle joue également un rôle institutionnel dans l'élaboration de politiques publiques et le renforcement de la coopération avec les ministères, le pouvoir judiciaire, les services de sécurité et les organisations locales et internationales. Ceci garantit un système d'orientation intégré et des partenariats qui contribuent à une meilleure protection et à la fin de l'impunité. Cette réunion, convoquée par Adl Bila Hudud (Justice sans frontières) sous l'égide de la Direction générale des forces de sécurité intérieure, devrait servir de modèle pour la vision intégrée souhaitée entre les institutions officielles et la société civile, et pour une voie fondée sur le renforcement des capacités et des efforts concertés en faveur d'une société plus juste et plus sûre. Elle marque également le début d'une coopération durable avec la Division de liaison internationale et le Bureau central national d'Interpol à Beyrouth. Dans ce cadre, des formations et des réunions spécialisées seront organisées à l'intention des magistrats, des avocats et des organisations de la société civile sur la criminalité organisée, la traite des êtres humains, la cybercriminalité et la promotion de la coopération internationale. Cette conférence vise à franchir une nouvelle étape vers la mise en place d'un système de protection intégré renforçant la sécurité nationale, garantissant les droits et assurant l'établissement d'un mécanisme efficace de protection des victimes, des témoins et des partenaires internationaux. Elle met fin à l'impunité et encourage une coopération constructive entre l'État et la société civile. Discours du général de brigade Bitar : Je suis honoré que Son Excellence le Directeur général des Forces de sécurité intérieure m’ait demandé de le représenter à cette importante conférence nationale, qui met en lumière une question centrale en matière de sécurité, de police, de justice, de droits humains et d’aide humanitaire. Relever les défis posés par l’évolution du crime organisé, la complexité des circonstances dans lesquelles il est commis et les capacités croissantes des organisations criminelles exige de renforcer la communication, la coopération, la coordination et l’intégration entre les différents acteurs. L’objectif est de mobiliser des ressources, de bâtir des relations de confiance et de sensibiliser et responsabiliser les citoyens pour une société plus sûre. Notre présence ici aujourd’hui témoigne de la volonté collective des secteurs civil, humanitaire, universitaire, sécuritaire, militaire et judiciaire, ainsi que des organisations de défense des droits humains, de soutenir les efforts visant à développer la collaboration institutionnelle afin de réduire les conséquences et les effets du crime organisé sur nos sociétés. Il ne fait aucun doute que l’équilibre entre la lutte efficace contre le crime organisé et le terrorisme et le respect des droits humains est au cœur des priorités des Forces de sécurité intérieure. Aucun effort n’est épargné pour promouvoir et mettre en œuvre cette culture, tant dans les paroles que dans les actes. L'organisation s'efforce de fournir les ressources nécessaires, de mobiliser les énergies et de former le personnel requis pour atteindre cet objectif, malgré des capacités limitées et un contexte sécuritaire complexe. Il est réjouissant de constater que le Bureau central national d'INTERPOL à Beyrouth, dirigé par le directeur général des Forces de sécurité intérieure, le général de division [Nom], s'associe à l'organisation Justice sans frontières pour faire de cet événement une réussite. Il convient de souligner que le Bureau central constitue le lien central et exclusif entre INTERPOL et l'ensemble des forces de l'ordre, institutions, administrations et pouvoirs judiciaires au niveau national. Il joue un rôle essentiel dans le renforcement de la coopération policière internationale avec tous les Bureaux centraux nationaux des États membres et avec le Secrétariat général d'INTERPOL. Il œuvre activement à améliorer l'échange de données, à développer les mécanismes de coordination policière et à contribuer à l'atténuation des effets du crime organisé et de ses conséquences, conformément aux règles et procédures nationales et à celles en vigueur au sein d'INTERPOL. Table ronde : Une table ronde, animée par Mme Shalbian, a suivi, à laquelle a participé le vice-président du Comité de surveillance des dossiers d'INTERPOL, le colonel Dr [Nom], Ont pris la parole : Qamra, la procureure générale à la Cour de cassation, la juge Mirna Kallas, la conseillère en technologies de l'information et de la communication, cybersécurité et intelligence artificielle à la présidence du Conseil des ministres, la docteure Lina Oueidat, et le professeur de droit pénal international à l'Université libanaise, le professeur Jinan Khoury Fakhry.
11/12/2025
Communiqué de la Direction générale des forces de sécurité intérieure – Division des relations publiques Déclaration suivante : Dans le cadre des efforts continus déployés par les forces de sécurité intérieure pour lutter contre la criminalité dans différentes régions et appréhender les auteurs d’infractions, notamment ceux impliqués dans le trafic et la distribution de stupéfiants, le détachement d’enquête de Beyrouth de l’unité de police de Beyrouth a été informé de la présence de deux trafiquants de drogue se dirigeant vers le quartier du Souk al-Ahad à moto. Après investigations, le détachement a identifié les deux hommes : - Kh. A. (né en 1997, Palestinien), recherché pour des infractions liées aux stupéfiants et pour incitation à un acte indécent. - M. S. (né en 1997, Libanais) Le 24 octobre 2025, une patrouille du détachement les a repérés dans le secteur susmentionné. Une embuscade soigneusement préparée a permis leur arrestation alors qu’ils circulaient sur une moto non immatriculée. La fouille des individus et de la moto a permis de découvrir 30 sachets transparents contenant chacun une certaine quantité de distillat de sauge, conditionné en vue de sa distribution. Les personnes interpellées et les objets saisis ont été remis aux autorités compétentes pour la suite de la procédure, conformément aux directives de l'instance judiciaire compétente.
11/12/2025
Communiqué de la Direction générale des Forces de sécurité intérieure - Division des relations publiques Déclaration suivante : Dans le cadre des efforts continus déployés par les Forces de sécurité intérieure pour lutter contre la criminalité et en réduire la propagation, le 6 décembre 2025, le Bureau de lutte contre les jeux de hasard de l’Unité de police judiciaire a été informé de l’existence d’un réseau de jeux de hasard et de paris illégaux en ligne. Les patrouilles du Bureau ont mené les investigations nécessaires, révélant que les activités du réseau s’étendaient à des zones du Nord-Liban et d’Hermel. Après un travail de suivi rigoureux, les agents de ce Bureau ont pu arrêter tous les membres du réseau à différentes dates. L’enquête a révélé que ces individus étaient liés à l’un des principaux promoteurs de jeux de hasard illégaux en ligne. Le 8 décembre 2025, dans la région de Safir, un homme a été arrêté par une patrouille conjointe du Bureau de lutte contre les jeux de hasard et du Détachement d’enquête du Mont-Liban de l’Unité régionale de gendarmerie. Son nom est : - M.A.M. (Né en 1975, Libanais) Des téléphones, des ordinateurs et du matériel électronique servant à gérer le réseau ont également été saisis. L'enquête se poursuit sous la supervision des autorités judiciaires compétentes.
11/12/2025
La Direction générale des Forces de sécurité intérieure – Division des relations publiques a publié la déclaration suivante : Dans le cadre des efforts quotidiens déployés par les Forces de sécurité intérieure pour lutter contre les vols dans différentes régions du Liban, la Division de l’information a été informée que des individus non identifiés commettaient des vols dans des maisons endommagées de la ville frontalière de Blida, dans le district de Marjeyoun, et volaient également des câbles électriques sur le réseau public. En conséquence, les unités spécialisées de la Division ont lancé des opérations de terrain et des enquêtes afin d’identifier et d’appréhender les membres de ce groupe. À l’issue de ces investigations, la Division a pu les identifier comme suit : - H.A. (né en 1971, Libanais) - M.A. (né en 2002, Libanais) - H.H. (né en 1999, Libanais) Les 24 et 25 novembre 2025, après une surveillance attentive, des patrouilles de la Division les ont appréhendés à leur domicile à Blida. Lors de leur interrogatoire, ils ont avoué avoir commis plus de vingt cambriolages dans des habitations de la ville, dérobant des câbles électriques sur le réseau public. Parmi les objets volés figuraient des batteries, des onduleurs, des meubles et des câbles électriques, qu'ils revendaient à des ferrailleurs. Les procédures légales nécessaires ont été suivies et ils ont été remis aux autorités compétentes, conformément aux instructions du tribunal.
11/12/2025
La Direction générale des Forces de sécurité intérieure – Division des relations publiques a publié le communiqué suivant : Dans le cadre des efforts quotidiens déployés par les FSI pour lutter contre la distribution de drogues dans différentes régions du Liban, la division d’information a obtenu des renseignements indiquant que deux individus non identifiés vendaient des stupéfiants à bord d’une moto dont les caractéristiques étaient inconnues, dans la région de Kesrouan. En conséquence, les unités spécialisées de la Branche ont reçu l’ordre de mener les procédures de terrain et d’enquête nécessaires afin d’identifier et d’arrêter les deux revendeurs. À la suite des investigations menées par les éléments de la Branche, il a été établi qu’il s’agit de: Z. (né en 1996, Libanais) G. (né en 2002, Syrien) Le 21-11-2025, après une surveillance étroite, une patrouille de la Branche a pu les repérer à bord d’une moto dans le secteur d’Adonis, où une embuscade leur a été tendue. Ils ont été arrêtés et la moto a été saisie. La fouille des individus et du véhicule a permis de trouver : 19 sachets en papier contenant de la cocaïne 9 capsules en plastique contenant de la cocaïne Deux sachets de marijuana et deux autres de haschisch Des feuilles à rouler et des feuilles Sanita Deux téléphones portables et une somme d’argent Lors des interrogatoires, ils ont reconnu avoir distribué des drogues dans la région de Kesrouan à bord de la moto sur laquelle ils ont été arrêtés. Les mesures légales nécessaires ont été prises à leur encontre, et ils ont été remis – avec les objets saisis – à l’autorité compétente sur instruction de la justice concernée.
10/12/2025
Publié par la Direction Générale des Forces de Sécurité Intérieure – Division des Relations Publiques, le communiqué suivant : Dans le cadre du suivi quotidien mené par les Forces de Sécurité Intérieure pour lutter contre la criminalité dans les différentes régions libanaises, et après la diffusion sur les réseaux sociaux d’une vidéo montrant un individu en train de voler à l’intérieur d’un magasin, les unités opérationnelles ont intensifié leurs mesures de terrain et de renseignement afin d’identifier l’auteur et de localiser son lieu de résidence. À la suite du suivi, la Brigade de Renseignement du Mont-Liban, relevant de l’Unité de la Gendarmerie Régionale, est parvenue à identifier le suspect et à déterminer son domicile dans le secteur de la route de l’aéroport. Une patrouille de la brigade a alors perquisitionné les lieux et procédé à l’arrestation du suspect, identifié comme suit : M. Ch. (né en 1983, Syrien) selon ses déclarations. En sa possession ont été saisis : une quantité de cocaïne et de haschisch, une somme d’argent, deux téléphones portables, ainsi qu’une moto de type Sweet de couleur noire. Dans le même contexte, et sur la base d’informations reçues par la Brigade de Renseignement du Mont-Liban concernant la présence d’un individu recherché pour avoir tiré des coups de feu ayant blessé une personne à la jambe dans le secteur de Roueiss — en plus de la diffusion d’une vidéo contenant un enregistrement vocal où il avoue les faits — une patrouille de la brigade, après une surveillance étroite, a réussi à l’arrêter dans le même secteur. Il a été identifié comme suit : N. Ch. (né en 1980, Palestinien) selon ses déclarations. Les deux suspects, accompagnés des objets saisis, ont été remis aux unités compétentes afin que les mesures légales nécessaires soient prises à leur encontre, conformément aux directives de l’autorité judiciaire compétente.
8/12/2025
Publié par la Direction générale des Forces de Sécurité Intérieure – Division des Relations Publiques, le communiqué suivant : Dans le cadre du suivi quotidien effectué par les unités des Forces de Sécurité Intérieure pour lutter contre les vols dans les différentes régions libanaises, des informations ont été obtenues par la Division des Renseignements concernant un individu qui commet des vols à l’intérieur de voitures stationnées sur les bords de la route dans la zone de la corniche maritime – Tyr. Le dernier vol a eu lieu le 10-11-2025, lorsqu’il a dérobé la somme de quatre mille dollars américains d’une voiture. Une vidéo documentant le vol a été diffusée. Suite à cela, les unités compétentes de la Division ont commencé leurs démarches de terrain et de collecte d’informations afin d’identifier et d’arrêter le suspect. Les investigations ont permis d’établir son identité. Il s’agit de : M. M. (né en 1982, Palestinien) Le 18-11-2025, après une surveillance minutieuse, une patrouille de la Division l’a repéré à Tyr, où elle lui a tendu une embuscade et l’a arrêté. Lors de l’interrogatoire, il a avoué les faits qui lui sont reprochés, notamment l’exécution d’un grand nombre de vols à l’intérieur de voitures dans la ville de Tyr, en particulier sur la corniche maritime. Il a également avoué avoir commis des actes d’extorsion visant des personnes qu’il trompait en se faisant passer pour une femme, prétendant vouloir leur envoyer des photos indécentes en échange de sommes d’argent. Les mesures légales nécessaires ont été prises à son encontre et il a été remis aux autorités compétentes conformément aux instructions du pouvoir judiciaire compétent.
8/12/2025
Cérémonie de lancement de vidéos de sensibilisation sur la lutte contre la traite des êtres humains
20/12/2023
Cérémonie de lancement de vidéos de sensibilisation sur la lutte contre la traite des êtres humains
Sous le patronage du directeur général des forces de sécurité intérieure, le général de division Imad Othman, représenté par le commandant par intérim de l'Institut des forces de sécurité intérieure, le brigadier administratif Bilal Al-Hajjar, et dans le cadre du projet « Renforcement de la police de proximité au Liban » financé par l'Union européenne, et avec le soutien de Caritas, il a été lancé le 14/12/2023. À l'Institut des forces de sécurité intérieure - Aramoun / Caserne du major martyr Wissam Eid, une série de vidéos de sensibilisation sur la lutte contre la traite des êtres humains. La cérémonie a été suivie par l'ambassadeur des Philippines au Liban, des représentants des ambassades de l'Union européenne, des États-Unis d'Amérique, du Bangladesh, une délégation de Caritas et une autre du projet de renforcement de la police de proximité, en plus d'un certain nombre de représentants d'organismes de la société civile au Liban, d'associations et d'organisations locales et internationales, et d'événements. Les personnes intéressées et les officiers des forces de sécurité intérieure. FrançaisÀ cette occasion, j'ai prononcé plusieurs discours, qui ont été résumés comme suit : Discours du représentant du général de division Othman, le général de brigade Al-Hajjar : Cher public, ce qui nous rassemble aujourd'hui à l'Institut des forces de sécurité intérieure, l'institut mère des institutions de sécurité, est une foi absolue dans la lutte contre l'un des crimes les plus complexes. Le crime de traite des êtres humains n'est pas un crime ordinaire et traditionnel, mais il porte atteinte à l'humanité d'une personne et à la dignité humaine inhérente à elle et légiférée par toutes les lois célestes et terrestres. Compte tenu de la gravité de ce crime, les forces de sécurité intérieure, dès avant la promulgation de la loi 164/2011 (Punition du crime de traite des êtres humains), ont introduit ce concept au sein de la communauté juridique, civile et universitaire, où nos officiers ont eu l'initiative initiale et la participation effective à la production de plusieurs documents et mémoires liés à la définition du crime et de ses indicateurs. Et les stratégies nécessaires pour le combattre et répondre à ses répercussions. Les programmes de formation nécessaires ont également été préparés pour nos membres. Divers grades. La réponse juridique et sécuritaire n’étant pas suffisante, nous avons travaillé en réseau avec la société civile locale et internationale pour assurer une réponse multisectorielle afin de pouvoir fournir un abri, des services de santé et des services psychologiques aux victimes de ce crime. Caritas a été l’un des premiers partenaires dans ce domaine en raison de sa longue expérience et de ses normes élevées en matière d’hébergement et de prestation de divers services aux groupes marginalisés, en particulier aux travailleurs domestiques migrants. Notre partenariat avec cette organisation ancienne a commencé il y a plus d’une décennie et comprenait des formations conjointes ainsi que des comités techniques qui ont jeté les bases de la réponse applicable dans notre société. Ce partenariat long et solide a pris racine et a connu des succès ces derniers temps, notamment grâce au projet de renforcement de la police de proximité, financé avec gratitude par l’Union européenne, qui comprenait plusieurs activités liées à la formation et à la sensibilisation, qui ont conduit à la production de films de sensibilisation, objet de notre réunion. Les forces de sécurité intérieure ne sont pas seules en première ligne de contact pour détecter et identifier les victimes de ce crime, et elles ne sont pas seules sur le champ de bataille et dans la confrontation. Au contraire, les efforts combinés de tous les secteurs conduiront inévitablement à révéler tous les problèmes dont souffre la société. Nous appelons donc tout le monde à se joindre à cette bataille pour parvenir à une société plus sûre. Discours de la représentante de l’ambassade de l’Union européenne : La campagne, que nous lançons grâce à un partenariat collaboratif avec Caritas et les Forces de sécurité intérieure, vise à sensibiliser la communauté à la prévention de la traite des êtres humains. L’Union européenne est fière de soutenir ce projet, qui s’inscrit dans une initiative plus vaste visant à renforcer l’approche fondée sur les droits au sein des Forces de sécurité intérieure pour assurer la protection des victimes du travail des enfants, de la prostitution forcée et d’autres formes de violations au Liban. Discours de la représentante du projet de renforcement de la police de proximité : Laia Castells : La particularité de cette campagne est que, suivant le modèle de la police de proximité, Caritas et les Forces de sécurité intérieure ont travaillé ensemble à sa conception, établissant un partenariat collaboratif qui durera au-delà de la durée du projet. En outre, la campagne contribuera à améliorer la confiance du public dans le travail de la police, en soulignant davantage l’engagement des forces de sécurité à promouvoir les droits de l’homme et à fournir des services de protection aux victimes du travail des enfants, de la prostitution forcée et d’autres formes d’exploitation, ainsi que de la traite des êtres humains. Discours du Père Michel Abboud, Président de Caritas : Le Père Abboud a commencé son discours par une célèbre citation d'un des penseurs, affirmant que « ce ne sont pas seulement les méchants qui détruisent le monde, mais plutôt ceux qui restent là et regardent le monde se détruire.
Fête de l’Indépendance 2023
27/11/2023
Fête de l’Indépendance 2023
A l'occasion du 80e anniversaire de l'Indépendance, le jeudi 23 novembre 2023 après-midi, les étudiants du Département d'histoire et de relations internationales de la Faculté des lettres et des sciences humaines de l'Université Saint-Joseph (USJ) ont visité, accompagnés du chef du département, Dr Christian Tuttle, et du chef de la division des relations publiques des forces de sécurité intérieure, le général de brigade Joseph Musallam, un certain nombre de membres des forces de sécurité intérieure, où la visite a commencé par une réunion avec le commandant de la police de Beyrouth, le général de brigade Ahmed Abla. Le Dr Tuttle a commencé la réunion en transmettant les salutations et l'appréciation du président de l'université, le père professeur Salim Dakkash, au général de division Othman. Ensuite, le général de brigade Abla a expliqué aux étudiants les principales tâches et responsabilités en matière de sécurité dans la capitale. En répondant à leurs questions. Ils se sont ensuite rendus dans la salle des opérations, la salle d’analyse et la salle de surveillance et de contrôle, et ont appris le fonctionnement du numéro d’urgence 112 et comment répondre aux appels des citoyens, l’importance de l’analyse médico-légale pour prévenir la survenance de crimes et les détecter rapidement, et l’importance du rôle de supervision joué par la police de Beyrouth dans le maintien de la sécurité et la poursuite des criminels. Ils se sont ensuite rendus au département des enquêtes scientifiques de l’unité de police judiciaire, et les officiers, chefs des laboratoires criminels, vérification d’identité, bureaux centraux des accidents, des explosifs, de l’équipement et des fournitures, leur ont expliqué le rôle de ce département et comment détecter les crimes en adoptant des méthodes scientifiques avancées pour éliminer les preuves des scènes de crime. La visite s’est terminée par une visite à la 1ère compagnie modèle régionale de Beyrouth, où le commandant de la compagnie les a informés des principes de la police de proximité sous lesquels elle opère, et leur a expliqué ces principes, qui sont basés sur la coopération et le partenariat avec la communauté locale dans le but de maintenir la sécurité et de renforcer la stabilité, sur la base de la responsabilité partagée avec la communauté pour mettre en œuvre la vision des forces de sécurité intérieure stratégiques « Ensemble… vers une société plus sûre ». A l’issue de la visite, les étudiants ont exprimé leur admiration pour le développement scientifique réalisé par les Forces de sécurité intérieure dans plusieurs domaines, et leur fierté pour le professionnalisme des officiers et des membres, hommes et femmes, et pour l’engagement et les sacrifices qu’ils font dans ces circonstances difficiles. Ils ont estimé qu’il y a des professionnels qui les protègent et des yeux vigilants qui veillent sur eux. Une institution de sécurité nationale a le droit d’avoir le soutien du peuple et de la société. Nous espérons que cette expérience sera généralisée à toutes les universités du Liban, car elle renforce le patriotisme et l’appartenance parmi les jeunes libanais.
Le major Claude Al Water donne une conférence de sensibilisation
21/2/2023
Le major Claude Al Water donne une conférence de sensibilisation
Le major Claude Al Watar, l'un des officiers de la Division de l'information, a donné une conférence de sensibilisation devant un certain nombre d'élèves de huitième année primaire et de première année secondaire au lycée Fatat Liban - Beit Hbaq/Jbeil sur le thème de la cybersécurité et de l'éducation des enfants sur les dangers d'Internet.
Publié par la Direction Générale des Forces de Sécurité Intérieure – Division des Relations Publiques Le communiqué suivant : À la demande de l’autorité judiciaire compétente, la Direction Générale des Forces de Sécurité Intérieure diffuse la photo de la personne disparue : Elias Michel Haddad (né en 1987, Libanais) Il a quitté le domicile familial situé dans la ville de Kfarmatta en 2023, et n’est toujours pas rentré à ce jour. À noter qu’il est une personne en situation de handicap. Par conséquent, toute personne l’ayant vu ou disposant d’informations à son sujet ou sur l’endroit où il pourrait se trouver est priée de contacter la brigade judiciaire de Baabda, relevant de l’Unité de la police judiciaire, aux numéros suivants : 05-922173 ou 05-921115, afin de fournir tout renseignement utile.
8/10/2025